C’est quand le matin arrive ?

15,00

De Claude MILLOT

– Evidemment dès que j’ai kidnappé mon fils, mon ex-mari a fait mettre toutes les polices du pays à notre recherche. Comme ils n’ont rien trouvé aux aéroports ni aux gares maritimes, ni aux frontières routières, ils pensent avec raison que je suis encore ici. Alors, quels sont les moyens de quitter le pays d’après toi ? Les bateaux de tourisme… Et quand ils sont français, c’est encore plus suspect…

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Description

Dans les années 90, le fils de Mélie est retenu en Tunisie par son père, un homme influent, proche du pouvoir. Mais Mélie est déterminée à le ramener en France, coûte que coûte.

Elle rencontre « le capitaine », un homme au grand cœur dont le bateau participe à une mission scientifique en Tunisie.

La belle brune et le marin, « mais on n’est pas là pour ça », s’unissent pour la bonne cause…

Claude Millot, a pendant près de 25 ans, sillonné la Méditerranée et l’Atlantique Nord, à bord de son vieux gréement Fleur de passion. Ce premier récit s’inspire de quelques-unes de ses aventures.

Informations complémentaires

Dimensions 14 × 1.2 × 21 cm
nombre de pages

166

Date de sortie

Novembre 2011

PAGE 1

Le bateau était en pleine forme, après le grand carénage fait l'année dernière aux chantiers des Baux à Sanary. Grâce à l'aide d'une bande de copains efficace, nous avions remis à l'eau un « Fleur de Passion » flambant neuf.
La saison s’annonçait plutôt bien : un équipage de choc, deux ou trois séjours plongées avant les vacances puis deux mois de missions scientifiques, en Tunisie, avec une équipe que je connaissais bien puisque nous avions déjà travaillé ensemble l’an passé. Cela avait été très intéressant, en tout cas au niveau relationnel avec les scientifiques car le côté pécuniaire avait été un peu délaissé, hélas, comme à l’accoutumée. Le projet de recherche était passionnant : archéologie sous-marine, environnement, recherche médicale, tout y était, de quoi nous ravir, l’équipage et moi.
Assis dans le bureau de mon entreprise de polyester, perdue au fin fond de la Seine-et-Marne, je méditais, songeur, à ces croisières prochaines quand une lettre arrivée au courrier du matin attira mon attention. D’abord, c’est bien à mon nom mais le prénom n’est pas le bon et l’enveloppe est tamponnée en haut à gauche du cachet CNRS. Tiens, tiens, une nouvelle proposition de mission scientifique peut-être, ce serait formidable… J’ouvre, fébrile…

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